[2e Salon Euromotor (1991)]

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localisation Bibliothèque municipale de Lyon / P0740 FIGRPT0296B 02
technique 1 photographie positive : tirage noir et blanc ; 18 x 24 cm (épr.)
historique Après une première expérience en décembre 1986, Euromotor va revivre du 20 au 24 février 1991 sur le site d'Eurexpo. Cet événement se présentera sous la forme d'un grand show avec, en extérieur, une piste de glisse pour autos, motos et camions, ainsi qu'un circuit tout-terrain pour les 4x4, les quads et les camions. En intérieur, le public pourra découvrir des démonstrations de super cross, de karting, de voitures radio-commandées, de dragsters et des expositions de bolides de courses (Formule 1, sport prototype, Formule 3000 et formules de promotion). Par ailleurs, durant les cinq jours, des défis seront organisés dans l'une des halles, réunissant autos, motos et camions. Ces épreuves spectaculaires se disputeront sur une piste d'accélération de 100 mètres. "Nous sommes en train d'étudier la possibilité d'instaurer un système de départs désynchronisés pour équilibrer les chances des uns et des autres", a expliqué Claude Michy, organisateur avec Gilles Moretton de la manifestation. La plupart des stars mondiales du sport mécanique sont attendues à Eurexpo. Coût de l'aventure : cinq millions de francs. Source : "Une deuxième édition pour Euromotor" / P.A. in Lyon Figaro, 8 octobre 1990, p.34.
historique Est-ce par hasard que la Mc Laren du plus mystique des pilotes de Formule 1, Ayrton Senna, devance de quelques mètres la Ferrari 640 du plus mythique des pilotes français, Alain Prost ? Non. Plutôt par souci de vérité. Comme pour un Grand-Prix, les machines sont sagement alignées, prêtes au départ. Derrière ceux qui dominent depuis quelques années le Championnat du monde de Formule 1, on retrouve d'autres marques prestigieuses courant en formule 3000, Renault ou Ford. A la place du pilote, un mannequin avec casque et combinaison. Hyperréaliste. Et pourtant, Euromotor a été réalisé pour faire rêver les amateurs de sports mécaniques. Des moteurs sulfureux des dragsters, avançant au nitrométhane ou au méthanol, pour atteindre des vitesses jusqu'à 300 km/h, en passant par les customs d'inspiration Volkwagen, les amateurs de pistons comme les fans de chromes sont servis. Derrière, le spectacle commence : courses de motos, records d'accélération de dragsters, cascades en tout genre. A voir avec la partenaire idéale : une paire de boules Quiès. Source : "L'opéra des Quat'Roues" / C.D. [Christian Dybich] in Lyon Figaro, 21 février 1991, p.32.

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